Vernier
Histoire de la compagnie des sapeurs-pompiers de Vernier (Cp 51)
Vernier en quelques mot
Avec 768 hectares, Vernier est, en superficie, la huitième commune du canton de Genève. Ses 33’000 habitants font qu’elle est la deuxième commune genevoise la plus peuplée, juste derrière la ville de Genève, et qu’elle occupe le dix-septième rang des communes et villes de Suisse.
Le nom de Vernier proviendrait du mot celtique «verne» désignant l’aulne (arbre d’Europe qui croît dans les lieux humides). Situé sur la route romaine Genève-Lyon, le village a probablement été fondé par les légionnaires romains qui vainquirent les Helvètes lors de leur tentative d’émigrer en France, en vue de s’installer sur des terres plus fertiles. Cette route empruntait le tracé de l’actuel chemin des Tattes, qui part de la sous-station transformatrice de la Renfile.
Lors de la construction de l’école de Châtelaine, en 1915, des fouilles mirent à jour des fers de mulets et de chevaux datant de l’époque des légionnaires de Jules César.
C’est à la révolution française que Vernier apparut comme commune, avec son maire, ses adjoints et son procureur. Après la chute de Napoléon, la République de Genève entreprend des démarches en vue de son union à la Suisse.
Les discussions furent longues entre les alliés d’une part, la Suisse et Genève d’autre part: Talleyrand ne voulait pas céder le Pays de Gex alors que la Suisse exigeait, pour accepter la République de Genève au sein de la Confédération, que ce futur canton ait une frontière commune avec le canton de Vaud.
L’altitude maximale de la commune est de 449 m.
Des 566 habitants que comptait Vernier en 1816 aux 33’000 d’aujourd’hui, la municipalité a dû faire face à des défis très importants, notamment dans le domaine scolaire (19 écoles primaires), social (186 nationalités différentes se côtoient!) et sportif (plus de 30 clubs, 8 centres sportifs).
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